Sandrine Scourneau la présentatrice de la météo sur TV5 Monde pour Paris Match
Reportage de 6 pages dans Paris Match sur la belle présentatrice de la météo sur TV5 Monde, Sandrine Scourneau à l’époque où elle était encore à la RTBF. Retrouvez les photos de ce shooting sexy et glamour de Sandrine Scourneau dans mon portfolio ou le récit de cette journée de prises de vues sur mon blog lifestyle mode et photo.
Haut Potentiel télé.
Nouveau joyau de la RTBF Sandrine Scourneau est comme le titre des émissions qui l’ont lancée : « Sans Chichis » et « No Limit ».
Le destin l’a mise sur le chemin des studios de télévision en 2007. Sans qu’elle en ait rêvé. Preuve de sa capacité à rebondir vite et haut. Aujourd’hui, à 36 ans, Sandrine Scourneau fait en effet figure de valeur sûre à la RTBF, à laquelle elle insuffle son énergie hors norme depuis cinq ans, sans prompteur. Un joli parcours pour cette autodidacte qui ressemble aux noms des principales émissions dans lesquelles elle est apparue : la féminine « Sans chichis » et « No Limit », consacrée au Web, sur La Deux. Présentatrice d’une spéciale de 60 minutes ce jeudi 27 juin, elle prouve qu’elle anime plus qu’un « Vidéo Gag » à la belge et accumule les fans sur Facebook (26 000 actuellement). De quoi vouloir en savoir plus. Et là aussi, ça fait le buzz : l’animatrice au regard magnétique se livre à cœur ouvert, raconte ses forces et ses faiblesses, en public comme en privé. Décidément et heureusement, sans limites dans sa générosité.
Visage de l’actualité du Web sur La Deux, Sandrine Scourneau gravit quatre à quatre les marches de la reconnaissance médiatique.
Grâce à une pub pour du shampooing
Elle offre mille visages dans l’univers des studios de la RTBF à Wavre. Pourtant, elle n’est pas tombée dans la marmite de la télé quand elle était bébé : avant de passer au petit écran, Sandrine Scourneau a fait de l’infographie durant huit ans. « Je possède un diplôme en secrétariat de direction. Mais je me suis vite rendu compte qu’il serait compliqué pour moi de travailler pour un patron… J’ai donc claqué la porte de mon internat à Bruxelles. Deux jours après, j’avais mon numéro de TVA et je me lançais dans l’infographie. Mon père est imprimeur et il avait souvent besoin de main-d’oeuvre pour composer ses imprimés. J’ai acheté un logiciel et, pendant huit ans, j’ai avancé dans ce secteur. » C’est par le biais d’une pub pour une marque de shampooing américain qu’elle débarque au petit écran. « Dans la foulée, un casting pour les 20 ans de RTL TVI a été organisé. Jacques Vanden Biggelaar (NDLR : présentateur d’« I comme » sur la chaîne privée) m’avait proposé d’y participer. Je l’avais rencontré par hasard à la suite d’une demande d’information. Le courant est immédiatement passé. Pendant trois mois, on a discuté, mais comme il ne signait jamais ses mails, j’ignorais à qui je parlais. En fait, il avait peur que sa “notoriété” conditionne les échanges. Aujourd’hui, c’est un grand ami. Quelqu’un de très généreux, de très drôle aussi puisqu’il m’a dit que j’avais un physique de télé après avoir vu ma photo. Ça m’a fait rire parce qu’à l’époque, je détestais les caméras…
Je suis d’ailleurs sortie du casting dans tous mes états, persuadée d’avoir été très mauvaise. Selon Jacques, j’étais pourtant la seule à être sortie du lot… Après, j’ai été repérée par Liberty TV. Ensuite, j’ai bossé pour la société de production Keynews, et quand j’ai été licenciée pour motifs économiques, j’ai frappé à la porte de la RTBF qui m’avait approchée un peu avant. »
Toute la personnalité inattendue de la belle en quelques clichés réalisés à Wavre, dans le bâtiment de la radio construit au début des années 1950 : elle est arrivée au petit écran sans l’avoir réellement voulu.