Les 10 ans de l’émission C’est du Belge à la RTBF
Une princesse célèbre les 10ans de l’excellence Belge
Dans le cadre mythique de l’hôtel Métropole à Bruxelles, l’émission « C’est Du Belge » fête son dixième anniversaire. Avec son partenaire pour de nombreux scoop : Paris Match.
Né en 2005 à la RTBF, le magazine hebdomadaire de l’excellence et du savoir faire belge fête son dixième anniversaire. Depuis dix ans, l’équipe de « C’est du Belge » met en lumière les hommes et les femmes qui, par leur travail, leur réussite, leur flamboyant destin, participent à la renommée de la Belgique. Pour fêter dignement cet anniversaire, une émission événementielle diffusée en direct bénéficiera d’un cadre majestueux ce vendredi 30 janvier : l’hôtel Métropole à Bruxelles. La princesse Esmeralda de Belgique, qui a récemment attiré tous les regards dans « C’est du Belge » pour un double document sur l’un des règnes les plus forts de la monarchie belge, vous y entraîne avec grâce.
Esmeralda de Belgique à l’entrée du Métropole, le prestigieux hôtel de la place de Brouckère à Bruxelles.
Pour ces 10 ans, le photographe Michel Gronemberger immortalise les célébrités qui ont marqué la destinée de « C’est Du Belge ». Avec une touche « Métropole » : Art déco, art nouveau, style moderne.
Princesse journaliste.
A l’un des balcons du Métropole, la princesse Esmeralda se métamorphose en star mythique, comme l’était Audrey Hepburn dans les années 1950. Héroïne de reportages menés par « C’est du Belge » à New York et en Tunisie (2006) puis en Angleterre (2011), elle a surtout récemment brillé dans l’émission en racontant avec passion et une belle probité historique la vraie personnalité de ses grands-parents, le roi Albert Ier et la reine Elisabeth. Retrouvant pour Paris Match, par la même occasion, son métier de journaliste.
Légende
Sur la terrasse de la Brasserie, le sourire pétri d’humanisme de la légende de l’harmonica Toots Thielemans. Le 19 septembre 2014, « C’est du Belge » le mettait à l’honneur pour ses 92 printemps. Un moment exceptionnel, bercé par les notes douces, ensorcelantes, endiablées, de l’un des plus grands jazzmen de tous les temps.
Star atypique
Reine du best-seller, personnalité insaisissable, complexe mais terriblement attachante, Amélie Nothomb découvre à sa façon « les mystères de la chambre jaune » dans la suite François Weyergans. Dédiée au grand écrivain et décorée dans un style fin XIXe et baroque très luxueux aux nuances bordeaux, or et jaune, celle-ci est située au quatrième étage de l’hôtel, avec vue sur la place de Brouckère. Pour « C’est du Belge », Amélie a été immortalisée par les studios Harcourt le 3 octobre 2008, sur les traces de Marlene Dietrich.
Taureau national
Même Marc Wilmots s’est retrouvé à la une de « C’est du Belge », et ce avant la grande aventure du Mondial brésilien, le 16 mai 2014. Mais on ne change pas le « taureau de Dongelberg » : huit mois plus tard, au cœur des salles du Métropole décorées par l’architecte français Alban Chambon (grâce à lui, l’entrée de style Renaissance française mène au hall de style Empire, où les colonnes et les piliers dessinent l’espace), le coach des Diables rouges reste fidèle à son tempérament ! Les quatre employés de l’hôtel qui rêvaient de jouer les défenseurs face à Willie en sont pour leurs frais.
L’optimiste exemplaire
Fidèle du Métropole depuis toujours et héroïne, le 14 octobre 2005, d’un « C’est du Belge » spécial (elle venait d’être anoblie), puis d’une autre émission, le 21 avril 2006, qui annonçait le lancement de la saga « Moi Belgique » à la RTBF, Annie Cordy n’aurait manqué ce rendez-vous sous aucun prétexte. Et ce malgré son actualité chargée : elle est si bouleversante dans le film « Les Souvenirs » qu’on la réclame de partout. Installée avec ses deux petits caniches au piano du bar, Nini la Chance s’illumine dès les premières notes, comme un pied de nez perpétuel aux nuages sombres de la vie.
Caricaturiste caricaturé
Le 3 octobre 2008, après un été chargé pour les membres de la famille royale, mais aussi pour celles et ceux qui suivent leur actualité, comme les caricaturistes, « C’est du Belge » rencontre Pierre Kroll. Six ans plus tard, le voilà en amoureux transi dans une suite du Métropole, où il attend désespérément sa belle. Un clin d’œil comme seul ce grand artiste 100 % belge peut en réserver à ses lecteurs.
Photos Michel Gronemberger avec Fujifilm – Make-up Catherine Malmendier pour Dior – La princesse Esmeralda est coiffée par Jacques Dessange et porte des bijoux du joaillier bruxellois Manalys – Smoking Crossword pour Pierre Kroll.